| Poids | 265 g |
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L’herbier à croquer
44.40CHFIdentification aisée de 55 légumes et fruits sauvages couramment rencontrés de la plaine à la montagne dans toutes nos régions.
18.00CHF
François Couplan et Florian kaplar te dévoilent tous les secrets de ces plantes que tu croises chaque jour, au détour d’un parc, d’un bois ou encore d’un champ
Avec ce guide, tu apprendras à identifier 20 plantes sauvages comestibles grâce à tes sens : vue, odorat, toucher, goût… Les plantes sont faciles à reconnaître et à observer
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Identification aisée de 55 légumes et fruits sauvages couramment rencontrés de la plaine à la montagne dans toutes nos régions.
Un concept simple et efficace : une plante par semaine avec sa présentation, sa description détaillée, son habitat, une carte de répartition, ses propriétés alimentaires, ses vertus médicinales, un dessin et, bien sûr, une recette inédite et facile à réaliser.
Sous un format très compact, ce petit guide de terrain propose de découvrir, d’identifier et de cuisiner 40 espèces de fruits sauvages communs et savoureux. Simple et efficace grâce à une mise en page rationnelle, des dessins précis et des photographies en gros plan !
La nature nous offre une multitude de jeunes feuilles, de pousses tendres et de fleurs délicates à mêler habilement pour confectionner de délicieuses salades pleines de vertus.
Manger régulièrement des plantes crues, même en petites quantités, est un bienfait pour le corps, car les légumes sauvages sont remarquablement riches en nutriments. Ils se révèlent très intéressants pour leur haute teneur en vitamines et en sels minéraux qui dépasse de loin celle de leurs homologues cultivés.
Le printemps est la saison privilégiée pour la cueillette des tendres feuilles. C’est alors que la quantité de plantes à salade est la plus importante. La nature foisonne et nous offre d’incomparables trésors de fraîcheur. Mais il est possible de récolter des feuilles à consommer crues en été, en automne et jusqu’en hiver, suivant les régions et les années.
Une « mauvaise herbe », c’est une plante que l’on arrache, car on la juge indésirable. « Mauvaise » ne signifie pas qu’elle soit toxique, mais simplement qu’elle pousse là où elle ne devrait pas, au milieu des cultures. Pourtant, ces herbes sont l’expression de la nature, une manifestation spontanée de la biodiversité, aujourd’hui si menacée.De nombreuses « mauvaises herbes » ne sont autres que d’anciens légumes, oubliés à tort, qui ont nourri nos ancêtres pendant des millénaires.
Ces végétaux présentent de nombreux intérêts. Par définition, ils poussent tous seuls, sans qu’il soit besoin de les semer, ni de les récolter : il n’y a qu’à se baisser pour les récolter. Leurs saveurs sont variées, douces ou prononcées, souvent aromatiques, parfois teintées d’amertume ou au contraire très suaves… La plupart d’entre eux permettent de préparer des plats savoureux. À découvrir !
Les problématiques liées à l’accès et à la qualité de l’eau sont de plus en plus nombreuses. Sa dépollution par les plantes est donc à double enjeu. Le premier est de préserver la ressource, la qualité des milieux naturels, la santé de la faune, de la flore et de l’homme. Le second consiste à trouver des moyens simples, efficaces et écologiques de traitement des eaux permettant aux populations, même les plus pauvres, d’avoir accès à cette ressource sans s’empoisonner.


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