Plantes
La meilleure façon d’apprendre à reconnaître les plantes consiste à accompagner sur le terrain une personne compétente qui pourra vous montrer les détails qui vous permettront de distinguer une espèce d’une autre. Il ne s’agit pas uniquement d’observation visuelle : toucher les plantes, les sentir, voire les goûter si elles ne sont pas toxiques vous apporteront des informations irremplaçables. Les livres viendront compléter cette approche concrète et l’amplifieront avec le temps.
Oui si vous vous y lancez sans réfléchir : il y a peu de plantes toxiques, mais certaines sont mortelles. Non si vous approchez la cueillette avec méthode et sérieux : de nombreux végétaux comestibles, abondants et savoureux, sont faciles à identifier de façon sûre et précise avec un minimum de connaissances – que vous acquerrez facilement au cours d’un stage ou d’un atelier.
Tout est relatif, mais il y en a globalement très peu en regard du nombre de plantes comestibles. Et on ne recense guère d’accidents dus à des confusions entre les deux – il en existe pourtant, occasionnellement mortels. C’est pour cela qu’il importe de savoir reconnaître sans se tromper tous les végétaux toxiques de nos régions. Avec un peu de méthode, la tâche est aisée.
Cela dépend de vous. Si vous arrachez sauvagement la moindre plante que vous rencontrez, peut-être éliminerez-vous des stations entières de plantes rares. Mais si vous vous contentez de récolter des plantes communes et abondantes, parfaitement définies et juste en quantité suffisante pour couvrir vos besoins, aucun souci n’est à craindre.
Je sui persuadé se livrer régulièrement à la cueillette entraîne un respect de la nature dû à sa fréquentation, aux observations que l’on peut faire et à la relation que l’on développe avec les plantes et les animaux. Si l’on se contente de récolter des plantes communes, on ne causera certainement pas le moindre dommage : elles seraient de toute façon éliminées par la fauche, les herbicides ou l’arrachage manuel, comme c’est systématiquement le cas des « mauvaises herbes » des jardins. On ne peut protéger efficacement que ce sue l’on aime et que l’on connaît !
Stages
Écrivez-bous tout d’abord pour nous demander s’il reste des places et pour une première prise de contact. Si c’est le cas, nous pourrons vous préinscrire avec votre nom, votre adresse postale, votre numéro de téléphone et votre e-mail. Votre inscription sera validée à réception de votre règlement par carte bancaire, virement ou chèque.
Oui, bien sûr. Nous vous demandons de nous verser des arrhes de la moitié du montant lors de votre inscription et le solde quinze jours avant le début de l’atelier ou du stage. Pour les cours d’une journée, le montant total doit être réglé à l’inscription.
Oui, s’il s’agit d’un cas de force majeure dûment motivé. En d’autres circonstances, nous pourrons reporter le montant versé sur un autre stage ou sur des achats de livre.
Why not? The teachings will be in French, but I do speak English and many people in our seminars do as well. You’ll be able to ask all your questions and you won’t feel alone.
L’une des caractéristiques des plantes est qu’elles ne bougent pas beaucoup et une autre est qu’elles sont généralement nombreuses au même endroit. Cela veut dire que nous n’avons pas vraiment besoin de parcourir de grandes distances pour les rencontrer, et que nous courons pas sur les sentiers, mais nous arrêtons fréquemment pour observer les merveilles de la nature. Il ne devrait donc pas y avoir de problème majeur en ce qui concerne les stages et les ateliers. Lors des survies, en revanche, nous explorons notre territoire en portant un sac sur notre dos et il importe donc d’être en bonne condition physique. DE toute façon, si vous avez des problèmes de santé, nous vous remercions de nous en faire part à l’inscription.
Généralement très bien. Il vous suffit de nous prévenir à l’avance et, le cas échéant, d’apporter les produits que vous souhaiterez consommer et/ou de vous abstenir de ce que vous ne voudrez pas manger. Nos repas sont végétariens, mais nous utilisons parfois de la farine de blé et du fromage. Il sera certainement possible de prévoir pour vous une quiche sans gluten et sans fromage. Si vous êtes allergique à telle ou telle substance, nous vous préviendrons si tel plat en contient et vous pourrez vous ne abstenir.
Tous nos lieux de stages sont accessibles par train ou par bus. Mais dès l’inscription, nous proposons aux participants de remplir un tableau qui leur permettra de prendre contact les uns avec les autres et ainsi de covoiturer. C’est évidemment une très bonne solution !
Pas de souci. Même si vous ne connaissez rien aux plantes avant de venir au stage – et vous vous rendrez sans doute compte que vous en connaissez davantage que vous ne pensiez – vous acquerrez rapidement des connaissances de base qui vous feront vous sentir à l’aise dans le monde végétal. Après, ce sera à vous de jouer, de persévérez et de développer vos connaissances. C’est un processus qui durera toute votre vie !
Oui, l’hébergement et la nourriture sont prévus dans tous nos stages. Nous formons un groupe convivial le temps d’une semaine ou d’un week-end et les journées se passent vite. Il est donc important d’être ensemble, et nous avons envie de partager de passionnantes discussions. Quant à la cuisine, elle fait partie intégrante de nos activités.
Pas vraiment. Comme dirait Tintin, nous sommes ouverts aux jeunes de 7 à 77 ans. Voire moins ou davantage !
Nous sommes référencés au Datadock, et si vous pouvez vous faire prendre en charge par un OPCO, VIVEA ou un autre organisme du même style, la réponse est oui. Nous vous aiderons à monter votre dossier, de même que si votre entreprise accepte de financer votre stage.
Oui, bien sûr. Prenez directement contact avec nous si vous souhaitez lui faire la surprise. Vous trouverez également sur notre site une carte à imprime et à remplir pour lui offrir.
Les personnes résidant en Suisse doivent régler les prestations en francs suisses (CHF) par virement directement sur notre compte en Suisse, ce qui permet d’éviter les frais de transfert et de conversion.
Oui, avec plaisir, dans la limite de mes disponibilités. Nous pouvons en tout cas en discuter. J’ai également, partout en France, ainsi qu’en Suisse en Belgique et au Luxembourg, des élèves qui ont complété leur formation avec moi et qui pourront animer des stages sur les plantes sauvages comestibles.
Formations
Outre nos ateliers (deux jours) et nos stages (une semaine), nous proposons une formation à distance qui dure un an et une formation sur trois ans. La première se déroule où vous voulez, démarre quand vous le souhaitez et comporte un suivi personnalisé de ma part. La seconde a lieu sous forme de week-ends et de stages en présentiel au sein d’un groupe d’une vingtaine de personnes motivées. Nous y explorons ensemble, en profondeur, les relations entre l’homme et le monde végétal et ouvrons de nombreuses pistes tant sur le plan technique que sur celui de la réflexion.
Il faut avant tout être motivé et prêt à vous investir personnellement. Pour la formation à distance, rien de particulier n’est nécessaire, sinon d’être suffisamment à l’aise avec l’informatique pour m’envoyer vos fichiers. Pour la formation sur trois ans, il vous sera nécessaire d’avoir suivi un stage avec moi, afin que nous nous rencontrions et puissions juger de notre désir commun de travailler ensemble pendant ces trois années. La formation à distance n’est pas un prérequis, mais il est bien clair qu’elle vous fera gagner du temps et vous permettra de vous sentir très à l’aise pour les cours théoriques et le terrain. Si vous en avez la possibilité, donc, n’hésitez pas !
Pour la formation à distance, il n’y a pas de problème : en travaillant sur le terrain et en suivant les cours, vous progresserez rapidement. Pour la formation sur trois ans, il vous faudra d’abord suivre un stage avec nous et vous ne serez donc plus débutant !
Pas de souci en ce qui concerne la formation à distance : vous pouvez la suivre n’importe où – j’ai eu des élèves au Canada, à la Réunion, à Mayotte et jusqu’en Nouvelle-Zélande. Pour le Collège d’Ethnobotanique, il faudra venir à Lyon pour les week-ends et pour les stages dans les Alpes de Haute Provence, en Bretagne, en Valais et en Suisse. Nous avons régulièrement des personnes venant de Suisse, de Belgique et du Luxembourg, mais nous en avons eu aussi d’Italie et de Tunisie.
Non, pas vraiment, ni vers le haut ni vers le bas.
Pour les week-ends, nous louons des gîtes communaux non loin de la salle de cours. Pour les stages, nous louons des gîtes sur place. La nuitée revient généralement entre 10 et 15 euros.
Il serait bien que vous puissiez dégager un peu de temps chaque jour pour rencontrer les plantes, ce qui peut se faire partout : vous en voyez certainement dans votre jardin, sur votre balcon et même en vous rendant à votre travail. Et vous devriez pouvoir prendre quelques heures le week-end pour lire les cours et mettre votre travail au propre.
Les cours sont mis sur un site dédié au format pdf.
Oui, bien sûr. Les pdf sont simples à imprimer.
Vous pouvez me joindre par e-mail, par téléphone, sur WhatsApp, Skype, Zoom ou kMeet, à votre convenance. Il vaut mieux fixer un rendez-vous pour ces dernières options, mais malgré tout ce que je fais, j’ai des créneaux disponibles pour vous chaque jour. Et c’est pour moi un plaisir de partager un moment avec vous et de répondre à vos questionnements.
Nous sommes référencés au Datadock, et si vous pouvez vous faire prendre en charge par un OPCO, VIVEA ou un autre organisme du même style, la réponse est oui. Nous vous aiderons à monter votre dossier, de même que si votre entreprise accepte de financer votre stage.
Livres
Vérifiez tout d’abord qu’ils sont disponibles, car certains sont épuisés, ce qui est indiqué sur le site. Nombre des livres que je vous propose – avec d’importants rabais si vous les achetez par lots – sont des fonds de stocks et ne sont plus disponibles en librairie. Nous sommes une toute petite entreprise : c’est Keiko et moi qui préparons les envois et les portons à la poste. Cela entraîne deux contraintes par rapport aux grands groupes : nous devons vous faire payer les frais de port et nous ne pouvons vous envoyer vos paquets que lorsque nous nous trouvons à Brindas, où les livres sont stockés. Nous vous remercions donc pour votre compréhension.
Pour apprendre les plantes comestibles de base, l’Herbier à croquer est un bon choix. Pour étoffer vos connaissances et savoir reconnaitre les plantes à éviter, je vous recommande le Guide des plantes sauvages comestibles et toxiques. Le nec plus ultra reste Le Régal végétal, accompagné de Cuisine sauvage qui vous accompagneront de nombreuses années. Ils devraient être bientôt de nouveau disponibles. Et pour identifier les différentes espèces, entraînez-vous avec Reconnaître facilement les plantes. Si vous souhaitez approfondir les relations qu’entretient l’homme avec les plantes et la nature, Ce que les plantes ont à nous dire vous apportera maints sujets de réflexion.
Oui, nous pouvons envoyer des livres dans le monde entier. Les fais de port pour votre pays sont calculés automatiquement. Dans l’Union européenne, vous n’aurez pas de droits de douane à acquitter à la réception. Dans les autres pays, une franchise est généralement appliquée sur les petits montants.
Les personnes résidant en Suisse doivent régler les livres en francs suisses (CHF) par virement directement sur notre compte en Suisse, ce qui permet d’éviter les frais de transfert et de conversion. Nous ne pouvons pas vendre des livres à des prix inférieurs à ceux que pratiquent les libraires suisses.
Divers
Très volontiers. Keiko peut organiser un cours de cuisine japonaise traditionnelle à partir de 6 personnes. Il faut généralement le prévoir quelque temps à l’avance. Contactez-nous pour plus de détails.
Très volontiers. Keiko peut organiser une cérémonie du thé à partir de 5 personnes. Il faut généralement le prévoir quelque temps à l’avance. Contactez-nous pour plus de détails.
Ah, c’est très simple : c’est un choix assumé de notre part. Nous avons décidé de tourner de petites vidéos, occasionnellement, pour partager l’amour que nous portons tous deux aux plantes. Nous avons voulu privilégier la spontanéité, l’anecdote, la liberté plutôt que la précision ou la structure. En fait, c’est Keiko qui fait tout : idée, scénario (s’il y en a), tournage, montage, etc. Je me contente de présenter les plantes en me laissant aller à l’inspiration du moment face à la plante. Keiko intervient aussi et confectionne des recettes… Bref, nous avons beaucoup de plaisir à mettre sur pied ces vidéos sans prétention que nous espérons aussi vous être utiles.
J’aime beaucoup donner des conférences sur les plantes sauvages comestibles et sur toutes sortes de sujets qui y sont reliés. Je peux vous en proposer une liste sur demande. Je me déplace volontiers en France, en Belgique, en Suisse ou dans d’autres pays, sachant que je peux présenter ces conférences en français, en anglais, en allemand, en espagnol ou en italien. Il m’est plus facile de me libérer en semaine qu’en week-end, mais en s’y prenant assez tôt, tout est possible. Je suis également tout à fait ouvert aux vidéoconférences qui ont l’avantage d’être simples à organiser.
Nous pouvons nous déplacer chez vous pour vous faire découvrir sur le terrain les plantes qui vous entourent et vous proposer des manières inédites de les intégrer à votre cuisine. Nous pouvons également vous aider à mettre sur pied un réseau de cueilleur pour vous fournir tout au mong de l’année en plantes sauvages.
Nous ne vendons pas directement des plantes sauvages, mais nous vous apprenons volontiers à le faire, car ce qui nous importe, c’est que vous puissiez développer avec les plantes une véritable relation basée sur leur connaissance. Mais nous avons de nombreux élèves qui seront heureux de vous faire parvenir les produits de leur cueillette : passer par eux sera un gage de précision et de sécurité, ce qui est absolument indispensable.