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Ce livre de près de 600 pages recense toutes les espèces de plantes (environ 4000) connues pour pouvoir être consommées sur le continent nord-américain. Il est basé sur les expériences de l’auteur sur une période de plus de dix ans et recense les usages alimentaires que les Indiens faisaient des plantes qui les entouraient. Pour chaque plante sont indiquées l’étymologie du nom, la distribution géographique, les utilisations de chaque partie, l’historique de l’usage de la plante, sa composition, ses propriétés médicinales, son éventuelle toxicité, ses emplois divers, les espèces menacées, etc. Il a fallu 23 ans pour réaliser ce livre.
En anglais
La collaboration de deux spécialistes, un médecin et un ethnobotaniste, fait de cet ouvrage à la fois une encyclopédie fiable décrivant avec rigueur 500 plantes médicinales, de A à Z, et un guide pratique pour se soigner et faire soi-même ses préparations sans oublier la dimension culturelle et historique de ces plantes.
50 plantes sauvages comestibles communes en Belgique et aux Pays-Bas, avec leur description, leurs utilisations, des photos et de nombreuses recettes.
En néerlandais
Une étude a mis en évidence que la population de la Crète présentait le moins de maladies coronariennes et bénéficiait de l’espérance de vie la plus élevée. Or les Crétois ramassent pour se nourrir une variété étonnante de végétaux spontanés. Et si c’était la consommation de ces plantes qui fait, plus que tout autre élément, la différence entre l’alimentation des Crétois et celle des autres populations ? Et qui serait à l’origine de leur remarquable état de santé… dont nous pourrions nous aussi bénéficier.
Originaire d’Amérique du sud, la stévia est un édulcorant naturel remarquable, de saveur agréable et facile à utiliser. Elle permet aux personnes désirant limiter leur consommation de sucre de préparer des plats savoureux, et convient parfaitement aux diabétiques. Cependant, des controverses politiques et médicales ont limité sa disponibilité dans de nombreux pays et l’Union Européenne reste encore réticente à son utilisation. Il n’est pas impossible que cette réaction soit liée au puissant lobby des industries sucrières et des producteurs d’édulcorants artificiels tels que l’aspartame ou la saccharine, que la stévia remplace avantageusement…
– Histoire de la stevia
– Comment la cultiver
– Propriétés de cette plante singulière
– Comment l’utiliser
Cultiver des plantes en pot est sans aucun doute une très bonne façon d’inviter la nature chez soi. Nos intérieurs douillets se comportent comme de véritables serres chaudes, permettant à divers végétaux originaires des Tropiques de prospérer. En plus de leur présence apaisante, nombre de nos plantes d’appartement possèdent la vertu de dépolluer l’air vicié de nos logis.
Mais plusieurs d’entre elles, et parmi les plus fréquentes dans nos appartements, se montrent toxiques à des degrés divers. L’objectif de cet ouvrage n’est en aucun cas de faire le réquisitoire des plantes d’appartement, mais simplement d’informer sur les dangers, parfois graves, qu’elles peuvent présenter. Sachez quels végétaux peuvent occasionner des désagréments et placez-les hors de portée des enfants. Et, tout risque écarté, profitez des bienfaits de leur présence
Aymeric Lazarin, passionné par la protection de la nature et les usages des végétaux, a déjà écrit plusieurs ouvrages sur le sujet. Il a publié au Sang de la Terre Stévia, le sucre vertueux (avec François Couplan) et Plantes dépolluantes.
De plus en plus de personnes jardinent. Que ce soit dans un vaste parc ou d’étroites plates-bandes, sur une terrasse, un balcon ou même un rebord de fenêtre, les plantes colonisent de ce fait tous les espaces qui entourent nos demeures. L’homme moderne ressent de façon aiguë un besoin pressant de nature et il l’exprime, entre autres, en se passionnant pour le jardin, saine activité !
Mais il se trouve que de nombreux végétaux sont dangereux, en bien plus grande proportion d’ailleurs dans les jardins que dans la nature. Curieux être humain… Une partie importante des plantes ornementales dont il a choisi de s’entourer est toxique et certaines peuvent s’avérer mortelles, même à faible dose. Alors que dans nos régions, seulement 4% des plantes sauvages présentent une toxicité pour l’homme, près de 40% de celles que nous plantons dans les jardins d’ornement sont potentiellement nocives ! Découvrez-les dans ce livre très richement illustré.
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